Quand on évoque l’hypnose, beaucoup de personnes pensent spontanément à des scènes de cabaret ou à des émissions télévisées. On y voit des volontaires choisis dans le public, qui se retrouvent, sous l’injonction de l’hypnotiseur, à se comporter de manière extravagante : se croire transformés en poule, coller leurs mains entre elles ou oublier leur propre prénom sous les rires du public. Ces mises en scène, aussi divertissantes soient-elles, entretiennent une image déformée de l’hypnose et jettent une ombre sur sa véritable vocation thérapeutique.
L’hypnotiseur, un maître du spectacle uniquement.
Dans ces contextes, l’hypnotiseur n’est pas un thérapeute mais un artiste. Son objectif est clair : capter l’attention, amuser et surprendre le public. Pour cela, il sélectionne des participants, souvent plus suggestibles que d’autres, et surtout consentants – parfois même complices de la mise en scène. Les phénomènes hypnotiques sont alors exagérés, scénarisés, afin de créer un maximum d’impact. L’effet est garanti, mais il s’agit avant tout d’un numéro de scène, pas d’une démarche de soin.
Des pratiques spectaculaires, mais non thérapeutiques.
Là où l’hypnose thérapeutique cherche à soulager la douleur, apaiser l’anxiété ou accompagner un traumatisme, l’hypnose de spectacle poursuit un tout autre but : provoquer des réactions spectaculaires. Le respect de la personne n’est pas la priorité. Les sujets sont parfois mis dans des situations humiliantes, tournés en dérision pour faire rire une salle entière. On est loin des règles de déontologie et d’éthique qui encadrent la pratique médicale et psychothérapeutique de l’hypnose.
Une confusion qui nuit à l’hypnose médicale.
Cette confusion entre hypnose de scène et hypnose thérapeutique est dommageable. Elle entretient dans l’imaginaire collectif des peurs infondées : la crainte de « perdre le contrôle », de « tomber sous l’emprise » d’un hypnotiseur, ou d’être manipulé contre son gré. Des représentations qui font oublier que, dans un cadre médical, l’hypnose est au contraire une méthode précieuse, reconnue et efficace. Elle est utilisée pour atténuer la douleur lors d’opérations, pour traiter certaines phobies, pour aider les patients à se libérer d’addictions ou encore pour accompagner des situations de stress post-traumatique.
Restaurer la confiance dans l’hypnose thérapeutique.
L’hypnose n’est pas magique, encore moins un pouvoir de domination. C’est un outil thérapeutique qui s’appuie sur la collaboration entre patient et praticien. Elle suppose un respect absolu de la personne, un cadre sécurisé, et un objectif clair : favoriser le mieux-être et la santé. Les spectacles, en réduisant l’hypnose à un numéro comique, masquent cette réalité et contribuent à freiner son acceptation dans le grand public.
L’hypnotiseur, un maître du spectacle uniquement.
Dans ces contextes, l’hypnotiseur n’est pas un thérapeute mais un artiste. Son objectif est clair : capter l’attention, amuser et surprendre le public. Pour cela, il sélectionne des participants, souvent plus suggestibles que d’autres, et surtout consentants – parfois même complices de la mise en scène. Les phénomènes hypnotiques sont alors exagérés, scénarisés, afin de créer un maximum d’impact. L’effet est garanti, mais il s’agit avant tout d’un numéro de scène, pas d’une démarche de soin.
Des pratiques spectaculaires, mais non thérapeutiques.
Là où l’hypnose thérapeutique cherche à soulager la douleur, apaiser l’anxiété ou accompagner un traumatisme, l’hypnose de spectacle poursuit un tout autre but : provoquer des réactions spectaculaires. Le respect de la personne n’est pas la priorité. Les sujets sont parfois mis dans des situations humiliantes, tournés en dérision pour faire rire une salle entière. On est loin des règles de déontologie et d’éthique qui encadrent la pratique médicale et psychothérapeutique de l’hypnose.
Une confusion qui nuit à l’hypnose médicale.
Cette confusion entre hypnose de scène et hypnose thérapeutique est dommageable. Elle entretient dans l’imaginaire collectif des peurs infondées : la crainte de « perdre le contrôle », de « tomber sous l’emprise » d’un hypnotiseur, ou d’être manipulé contre son gré. Des représentations qui font oublier que, dans un cadre médical, l’hypnose est au contraire une méthode précieuse, reconnue et efficace. Elle est utilisée pour atténuer la douleur lors d’opérations, pour traiter certaines phobies, pour aider les patients à se libérer d’addictions ou encore pour accompagner des situations de stress post-traumatique.
Restaurer la confiance dans l’hypnose thérapeutique.
L’hypnose n’est pas magique, encore moins un pouvoir de domination. C’est un outil thérapeutique qui s’appuie sur la collaboration entre patient et praticien. Elle suppose un respect absolu de la personne, un cadre sécurisé, et un objectif clair : favoriser le mieux-être et la santé. Les spectacles, en réduisant l’hypnose à un numéro comique, masquent cette réalité et contribuent à freiner son acceptation dans le grand public.